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La plongée autonome à l'air

Nous espérons vous enseigner la plongée de loisir, pour votre plaisir et en sécurité!

 

Mais les origines de la plongée - même en apnée - ont été au début plutôt économiques et guerrières! On dit qu'Alexandre le Grand utilisait des soldats en apnée pour aller percer la coque des navires ennemis...

 

Et les pêcheurs de perle qui descendaient au fond, sans aucun moyen moderne pour ramaser les huîtres précieuses... Puis ceux qui ont inventé un scaphadre rudimentaire au moyen d'un tonneau et de cuir pour aller récupérér le contenu de navires coulés... Voyez l'Histoire de John Lethbridge ! Énorme! et ça marchait...

 

Sans masque les anciens prenaient de l'huile dans la bouche en laissant un filet passer devant leurs yeux. On pense qu'ils y voyaient suffisamment pour s'y retrouver...

 

Des dessins anciens décrivent des plongeurs respirant au fond de l'eau au moyen d'un long tuyau : après Aristote et un manuscrit de 1430, c'est Léonard de Vinci qui reprend cette idée malheureuse­ment irréalisable.

 

Comme Pascal le démontrera plus tard sur le plan physique et Lavoisier sur le plan chimique (Bertholet aussi!), cette jolie hypothèse ne tient pas : pour que l'homme survive en respirant sous l'eau il est indispensable que soit satisfaite l'équipression respiratoire et que l'air frais ne soit pas mélangé à l'air expiré.

 

C'est à la fois très simple et très compliqué!

 

Nous vous le démontrerons en vous faisant respirer sur un tuba (tuyau muni d'un embout buccal) plus long que la normale : même à une profondeur aussi faible que 50 cm sous la surface, la respiration requiert un grand effort, est vite pénible puis si l'on insiste, dangereuse... Il fallait donc attendre l'ère industrielle pour que la plongée à l'air soit possible et facile.

 

Nous avons la grande chance d'hériter de l'inventivité et de l'esprit de nos amoureux de la mer et de la technique : le Commandant LE PRIEUR (dès 1926), Georges COMMEINHES (1937), puis Émile GAGNAN (1942), ingénieur guidé par Jacques-Yves COUSTEAU ont inventé le matériel de respiration moderne dont nous profitons sans vergogne... Merci à tous ces pionniers!

 

Nous, nous avons choisi d'utiliser du matériel de plongée SCUBAPRO, fiable, robuste, simple, qui succède fidèlement aux inventions de nos pionniers!

 

Si vous souhaitez d'autres infos, contactez-moi.



La Plongée en apnée (plongée libre)

La plongée en apnée est très ancienne; non seulement cette plongée sans aucun matériel était utilisée pour la pêche de coquillages pour se nourrir et pour les perles, mais encore elle a été utilisée très tôt dans des buts militaires... et pour le pillage des navires échoués à faible profondeur...

 

- Aujourd'hui, la plongée en apnée est toujours employée pour la pêche sous-marine, autrement appelée "Chasse sous-marine" (activité interdite avec des appareils respiratoires), et fait l'objet de concours où l'habileté du chasseur est jugée au nombre et à la qualité de ses prises dans un temps donné.

 

- La plongée en apnée est également devenue une activité sportive faisant l'objet d'entraînements et de compétitions internationales notamment avec la fédération historique de l'apnée, AIDA et AIDA France.

 

Nous, ce que nous visons et vivons, c'est une plongée en apnée de loisir et de plaisir et des activités en apnée ludiques et artistiques : venez vous amuser avec nous tout en domestiquant le mileu subaquatique!

Le Vol moteur en ULM multiaxes

L’ULM est un des moyens les plus libres et les plus économiques pour conquérir la troisième dimension aérienne... Depuis le début des années 80, des milliers de femmes et d'hommes ont pu prendre l’air grâce à l'ULM!


Notre école est dotée de deux appareils, l’un pour la formation de base jusqu’au brevet et les navigations, l’autre pour le perfectionnement, tous deux équipés de doubles commandes intégrales*.

 

Juste pour info :

- Un avion d’aéroclub est généralement une machine fabriquée par un industriel et dont la conception, la fabrication et les qualités de vol sont certifiées par l’état au terme d'un processus long et coûteux. La maintenance de ces appareils est confiée à des mécaniciens ou à des ateliers certifiés.


- Un ULM par définition légale est un appareil de construction et de maintenance simple, dont les qualités de vol ont fait l’objet d’essais et de compte-rendus d’essais communiqués à l’autorité de contrôle, mais ils ne sont pas certifiés par l’état.


Ils peuvent parfaitement avoir été construits par un amateur qui aura effectué et vérifié toutes les opérations de construction, de contrôle au sol et en vol et qui en aura également réalisé la déclaration auprès de l’État.


Il y a six classes d’ULM différents. Les nôtres ressortent de la classe 3 : ce sont des appareils en tous points semblables à des avions de formule classique : un moteur à l’avant (80 Cv et 100 Cv), une cabine fermée et chauffée sur un train d’atterrissage à roues, des ailes sustentatrices, un fuselage, un empennage portant dérive, gouverne de direction et gouverne de profondeur. Un de leurs attraits est leur relative légèreté ! Ils ont été construits à partir de Kits ; leur origine américaine - car ce sont des avions contrôlés outre-Atlantique - nous assurent qualité des matériaux et qualités de vol en même temps que fiabilité dans le temps et capacités de décollage et d’atterrissage courts... Ce sont des biplaces. L'usine RANS a fabriqué et diffusé plus de 4000 kits et les RANS S-6 volent dans le monde au nombre d'environ 2000...


Même si vous désirez un jour vous qualifier pour le pilotage des avions certifiés, le vol en ULM multiaxes RANS vous permettra d’acquérir de grandes compétences en maniabilité : vol plané, gestion des pannes, atterrissages de précision et utilisation de pistes
courtes en herbe ainsi que des capacités d'analyse et de vigilance remarquables!

 

* Les doubles commandes permettent l'apprentissage en toute sécurité : à la différence de ce qui se passe en voiture, l'élève en place gauche et l'instructeur en place droite disposent tous les deux de la même autorité sur les commandes de pilotage; pour faire court : 1) La commande des gaz, permettant de faire varier le régime du moteur, à la façon d'un accélérateur, à la différence près que la commande reste à la valeur fixée par le pilote, à main gauche, le standard traditionnel français. 2) Le manche à main droite ("manche à balai" invention du français Robert Esnault-Pelterie en décembre 1906 - il a également inventé l'aileron, le moteur en étoile et la formule d'avion monoplan!!!) qui permet grâce aux gouvernes mobiles de l'empennage de faire monter et descendre l'avion et grâce à celles de l'aile (ailerons) de l'incliner en vue de faire des virages, 3) Les palonniers qui se commandent avec les pieds qui permettent de réaliser des virages coordonnés et de diriger l'avion au sol. Entre les deux sièges se trouve également la commande des volets destinés à augmenter portance et traînée en vue de ralentir l'appareil en sécurité pour l'atterrissage...

 

Naturellement, vous aurez les commandes!

 

Convention de Varsovie : cette convention internationale en vigueur auprès des compagnies de transport public garantit aux passagers payants d'un aéronef accidenté un minimum de compensation financière. C'est dans l'intérêt de leurs passagers que tous les professionnels adhérant au SNPPAL délivrent à leurs clients un titre de tranport public officiel.